5 choses que vous ne savez pas sur Atlas, le drame avec Matilda De Angelis

la douleur, la peur et la renaissance. Telles sont les émotions investiguées dans le film Atlas avec la talentueuse et toujours splendide Matilda De Angelis. Un chemin dans l’âme humaine, semé d’obstacles mais aussi de la capacité et de la force de se relever et de recommencer. Voici donc tout ce que vous devez savoir avant de voir le film.

Un voyage dans le douloureux chemin vers la défaite (et même avant d’affronter) peur. « Atlas« , le nouveau drame du réalisateur Niccolò Castelli mettant en vedette le talentueux et tout aussi beau Mathilde De Angelis, raconte juste ceci. Les difficultés de récupérer et de recommencer après un événement traumatisant, en l’occurrence une attaque, surmonter la peur et tout ce qu’elle comporte.

Un rôle joué de main de maître par la jeune De Angelis, qui lui a valu le prix de la meilleure actrice au dernier Festival du film de Taormina, et dans lequel elle exprime le mieux toutes les émotions qui peuvent surgir et bouleverser la vie après avoir subi un traumatisme. De la douleur, au sentiment de culpabilité, de la méfiance, à la solitude la plus profonde, de la certitude de ne pas être compris, au désir de vengeance envers ce que l’on a vécu. Puis acquérir l’opportunité de reprendre sa vie en main et de renaître.

Un mélange émotionnel de grand impact et un film à regarder et à comprendre. Voici donc quelques curiosités sur « Atlas », pour vraiment aller au cœur de l’histoire et ne pas manquer la moindre nuance de cette voyage dans l’âme humaine.

Que raconte le film « Atlas » avec Mathilde De Angelis (et ce qui l’inspire)

Pour les non-initiés, l’histoire racontée dans le film « Atlas » parle d’un jeune femme, Allegra (Matilda De Angelis), passionnée d’escalade, de montagne et de vie. Un jour, il vient impliqué dans une attaque dans laquelle ses amis et son petit ami perdent la vie et qui mine (émotionnellement et physiquement) son existence. Marquant le moment où la jeune Allegra commence à se retirer, entre peur, culpabilité et fort désir de vengeance.

Des émotions que même ses proches ne pourront dissuader et qui pour Allegra représentent le premier pas vers une ascension différente de ceux de ses montagnes. UNE chemin intérieur, insidieux et semé d’embûches, vers le retour à une vie « normale ». Et c’est aussi grâce à la rencontre avec un jeune réfugié d’origine moyen-orientale, Arad.

Une intrigue inspirée de une histoire vraie, et plus précisément àUne bombe a explosé dans le café Argana à Marrakech, au Maroc, qui a eu lieu le 28 avril 2011. Et au cours de laquelle 18 personnes ont perdu la vie, dont trois de nationalité suisse (c’est-à-dire le pays d’origine du réalisateur du film), tandis qu’un quatrième a survécu.

Atlas : une enquête sur les sentiments

Un vrai chemin de analyse des sentiments, dont la peur est la principale. Le but du film, en effet, est de mettre en lumière toutes ces émotions qui ils agissent dans l’ombre de l’âme humaine, notamment à la suite d’événements pouvant traumatiser et altérer la perception de la réalité de ceux qui les vivent. En particulier, la peur et la relation que l’on entretient avec elle. Mais qui avec le temps peut être surmonté, vivre une renaissance physique et intérieure (qui est le vrai protagoniste du film).

Et c’est un sujet très actuel. La pandémie que nous vivons, en effet, a pu déchaîner de nombreuses personnes sentiments d’hostilité, devenir un obstacle au désir de contact, de socialisation. Créer de la méfiance entre les gens, inconnus (exactement comme cela arrive envers ceux qui se considèrent différents) mais aussi connus. Et c’est précisément dans la renaissance, dans la comparaison et dans la Je reviens à la confiance qu’on peut vraiment recommencer.

Où a été tourné le film ?

Bien que le film était initialement censé avoir quelques scènes tournées au Maroc, la pandémie a renversé la vapeur et n’a pas permis au réalisateur de s’en tenir à son plan initial. Cependant, faisant ressortir beaucoup de créativité et dont le film a certainement bénéficié.

Beaucoup de descentes et beaucoup de travail de post-production ont été travaillés à distance. Pendant le vrai film a été tourné au Tessin, touchant des villes telles que Lugano, Denti della Vecchia, Capriasca et Leventina. Utilisation de paramètres locaux, tels que Spazio Morel, l’église d’Angioli, etc. Sièges de fort impact émotionnel qui donne une suggestion au film.

Parce qu’il a été choisi pour Atlas Mathilde De Angelis ou alors une protagoniste féminine ?

L’idée derrière le film « Atlas » était de représenter l’état d’esprit et la manière dont l’attentat contre trois Suisses avait bouleversé et enflammé des émotions mitigées chez les personnes et en particulier chez le réalisateur. Essayer de faire face à l’émotion de la recherche de liberté par rapport au dépassement de la douleur.

Outre le fait que la véritable survivante de l’attentat de 2011 était une femme (et donc plus adhérente à la réalité), le choix de proposer une protagoniste féminine a justement été alimenté par volonté d’une recherche de complétude des émotions.

Selon le réalisateur, en effet, la femme sait mieux incarner des sentiments tels que la douleur, aller au fond d’une manière totale aux émotions, creuser ce que l’on ressent dans les endroits les plus cachés de l’âme. Comme plus capable de faire un chemin intérieur important et profond. Et donc plus « bon » à donner et à transmettre tout cela au public.

Comment Matilda De Angelis s’est-elle préparée pour son rôle ?

Comme l’a déclaré l’actrice Matilda De Angelis alias Allegra, une fois que vous avez lu le script, il était immédiatement clair que le film était presque totalement centré sur elle. Un « poids » que la jeune comédienne connaissait soutenir magistralement. En dire beaucoup au protagoniste plus avec des silences qu’avec des mots. Et donner une image à fort impact émotionnel.

Et c’est aussi grâce à la rencontre que Matilda De Angelis a eue avec la vraie fille qui a survécu à l’attentat de Marrakech. A qui il n’a pas posé de questions mais dont il est limité à l’écoute de l’histoire. Par respect et pour assimiler les sentiments réels de ceux qui vivent une expérience traumatisante et avec lesquels, qu’on le veuille ou non, il faut apprendre à vivre. Après y compris comment survivre.

Atlas est donc un film à voir, peu importe. Non seulement pour l’habileté, le talent et la capacité de Matilda De Angelis à impliquer le spectateur, mais aussi pour essayer de vivre et de comprendre des émotions souvent méconnues, pas même lorsque vous en faites l’expérience de première main. Apprendre qu’une renaissance est toujours possible, malgré tout.

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