La Cosacca, la pizza des tsars qui vient des chutes

Tomate, huile d’olive extra vierge, basilic, fromage râpé. Ce sont ses quatre ingrédients simples. Il était une fois cosaque, une pizza ancienne et oubliée depuis longtemps. Il était une fois et heureusement il y en a encore. Sûrement toujours dans de nombreuses pizzerias de Naplesoù sa tradition est restée intacte. Rond, humble, savoureux, pour beaucoup le cosaque c’est un Pizza encore pratiquement inconnu. Pourtant, il a refait la une des journaux il y a quelques années grâce à un épisode de 4 restaurants à partir de Alexandre Borghèse tourné à Naples. Les pizzaiolos en compétition à cette occasion – Giuseppe Vesi, Ciro Oliva, Alfredo Forgione, Maria Cacialli – s’étaient défiés avec futures pizzas. Sortir, paradoxalement, une incroyable pizza du passé. Là cosaqueprécisément. Précisément à la ville napolitaine, cette sorte de fusion entre une Margherita et une Marinara doit sa naissance. L’histoire veut que, vers 1844, le Est-ce que je Nicola était venu visiter la Sicile et Naples en compagnie de son l’épouse, Alexandra Fiodorovna. Accueilli pour un banquet au Palais Royal de Roi Ferdinand IIà la demande expresse du roi, il fut honoré d’un nouvelles pizzasà réaliser avec les meilleurs produits disponibles.

C’est donc ainsi que je pizzaiolo de la cour ils ont proposé une pizza farcie de Tomate Corbarala pecorino di Bagnoli IrpinojeHuile d’olive extra vierge de Campaniela basilic parfumé. Particulièrement apprécié des souverains d’Orient, il aurait donc pris le nom de en leur honneur cosaque. Ils l’aimaient tellement qu’une fois rentrés chez eux, ils les récompensaient Naples avec des dieux vouloirdont deux peuvent être admirées dans la ville : le deux statues équestres en bronze du Palafrenieriidentiques à celles exposées à Saint-Pétersbourg, encore exposées aujourd’hui sur les côtés de la porte de la jardin à partir de Palais Royal à partir de Naples. Il semble que personne, à l’époque, ne doutait que le cosaque avait été pratiquement fait avec restes. Son histoire, en fait, aurait ses racines encore plus loin dans le temps.

Quand je pizzaiolo ils l’ont mangé un fin de serviceles derniers disques de pâte restants, quand la mozzarella était finie, quand le basilic, précieux, devait être conservé pour la Mastunicola la première vraie pizza de la tradition napolitaine – et des anchois jalousement réservés pour assaisonner la marinara. Que restait-il alors ? Tomate et fromage. Et ainsi, voici, c’était fait cosaque. Oublié donc pendant près de 150 ans, aujourd’hui le cosaque est de nouveau au menu. Mais attention, ce n’est pas une pizza si facile à préparer. Juste pour culpabilité de par sa simplicité, il demande beaucoup d’habileté et de technique dans sa préparation, car le risque de se tromper est très élevé. Sa cuisson doit être parfaite, le voile de fromage doit être judicieusement calibré et doit rester quelques secondes au four. Tandis que l’huile, retournée après cuisson, lui donne son parfum incomparable, ainsi que le basilic.